[Water, water and water !]

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Water, water and water !
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[P V . E n y s t ë]

Le ciel grondait. De gros nuages sombres avaient envaht le ciel et ne semblaient vouloir s'en aller avant que le déluge ne se soit abattu sur Terre. Satÿam aurait pu accélère la venue de cette avalanche d'eau qui menaçait à tout instant de lui tomber sur la tête, mais il n'en fit rien. Le jeune guépard savait pertinemment que ces averses étaient utiles et surtout vitales à sa propre survie autant qu'à celle de ses congénères. Sans compter que de toute évidence... la terre avait besoin de la pluie. La rivière qui irriguait le territoire des Rains n'était plus qu'un mince filet d'eau à peine capable de ruisseler dans son lit. S'il ne pleuvait pas bientôt, la sécheresse s'installerait. Personne sur Free Cheetah n'avait besoin de cette fatalité. Pourtant, le félin laissa les choses se faire... Les nuages n'avaient nullement besoin de son aide pour remplir leur rôle.

La souple et discrète silhouette de Satÿam se dessinait au bord de ce qu'on pouvait difficilement appeler rivière. D'un pas silencieux, le guépard boitillait en direction d'un rocher surplombant la plaine. L'herbe sèche crissait doucement sous ses coussinets à chacune de ses enjambés. A quelques mètres, deux charognards s'acharnaient sur une vieille carcasse abandonnée ou volée, tandis qu'un troisième dégustait tranquillement à l'écart ce qui ressemblait à un reste de patte arrière de zèbre. Oui, un reste. Les mouches étaient là, elles aussi. Elles volaient inlassablement autour du cadavre, tandis que d'autres pondaient leurs oeufs de larves dans des restes de chair déjà en décomposition. La colère du ciel ne semblait pas inquiéter tout ce petit monde, qui disparaîtrait pourtant dès la première goutte de pluie ou au premier coup de tonnerre.

Satÿam arriva au rocher. Il le contourna et grimpa dessus par le côté le plus bas, économisant ainsi un bond inutile. Perché, le félin s'assit et scruta l'horizon. Le jour touchait à sa fin et le jeune guépard répugnait à rentrer à la tanière des Dryns. Pour cela il lui fallait se traîner avec sa patte folle sur quelques petits kilomètres. D'un autre côté, il savait qu'il n'avait guère le choix. Il ne pouvait passer la nuit ici... sous la pluie. Mais pourquoi diable s'était-il tant éloigné ?! Le félin posa son regard sombre sur les montagnes qui se dessinaient au loin. Il savait que ces dernières renfermaient la tanière de Rains. Que n'aurait-il pas donner à ce moment-là pour être l'un d'eux ? Foutue guerre...

Un long cri strident, produit sans doute par une chouette effrayée, retenti. Un éclair déchira le ciel et les gouttes commencèrent à tomber. La petite pluie se transforma alors en grosse averse, puis en déluge. Et les bruits de la savane furent bientôt recouvert par le fracassement de la pluie sur le sol. Sol qui se transforma rapidement en marre de boue. La rivière déborda alors de son lit. Avec un soupir silencieux, Satÿam se redressa, descendit de son perchoir et traversa le torrent. Dédaignant les galets qui permettaient de franchir le cours d'eau, le guépard s'enfonça jusqu'aux épaules. De toute manière, il était déjà trempé jusqu'à l'os, alors un peu plus un peu moins... Quelle différence ?

Arrivé sur l'autre rive, le félin secoua frénétiquement sa petite tête avant de se mettre en route. Après avoir parcouru quelques cinq cent mètres sous des torrents d'eau, Satÿam, résigné, se dirigea vers un arbre touffu sous lequel il s'assit. Là, il attendit que le ciel daigne se calmer.

Bien que les nuages se soit gorgé d'eau pendant plusieurs jours, un guépard marchait en solitaire sur les terres dites " libre " sans vraiment de conviction. Il voyait bien que la pluie ne tarderait pas et personnellement cet eau ne serait pas de refus. Alors que ses pas souples et lent le menait dieu seul pouvait savoir ou, Enystë arriva aux limites des terres Rains. Il se lécha lentement les babines puis, jeta un coup d'oeil aux alentours il y pénétra. Il avait visité pratiquement toutes les terres mises a par celle-la. Avec son pouvoir il ne risquait pas grand chose non plus. Il avancait lentement et de temps a autre il levait les yeux vers le ciel pour pouvoir savoir a peu près a quel moment il allait devoir subir se torrent. Il marcha pendant environ 5 minutes et ses pattes foulèrent enfin le sol nommé la rivière étincellante. D'ailleur cette rivière ne devait plus être grand chose depuis que la chaleurs étaient attroce sur toute les terres. Il avait fait a peine 5 mètres que la pluie se mit a tombé.

L'éclair qui c'était fait entendre et le cris du hibou ne le dérangea pas du tout. Il secoua légèrement la tête fesant tombé quelques goutelettes sur le sol déjà trempé. La pluie devint rapidement un torrent d'eau mais le guépard, maintenant mouillé jusqu'au os continuait d'avancer comme si il avait fait seulement 30 degrés. Son poil était complétement trempé et l'eau tombait de sous son ventre pour se rendre au sol déja gorgé d'eau. Il apercu au loin un guépard qui nageait dans l'eau mais il n'y porta pas réellement attention. Il poussa un rugissement typique des guépard mais ce dernier ne se rendit pas très loin car il fut rapidement étouffé par le bruit de la pluie. Un soupir sortit d'entre ses lèvres et il s'approcha d'un rocher assez imposant mais pas mortel. Il regarda l'endroit ou le guépard avait disparut et un sourit apparut lentement sur ses lèvres. Il leva lentement une patte et d'un coup légèrement puissant le rocher pesant en moyenne 60kg s'envola comme si il avait pesé une plume. Il s'écrasa lourdement a environ 5 mètres de l'arbre ou l'autre félin c'était réfugier.

Il se remit lentement en branle recommencant a avancer comme si de rien était. Il se lécha lentement les babines et il avala l'eau qu'il venait de receuillir. Il approchait lentement de la rivière qui se gonflait au fur et a mesure que les minutes passaient. Il s'arrêta en bordure et il prit quelques gorgé d'eau et ensuite il fit demi tour pour se rediriger vers le rocher immense ou l'autre guépard étaient quelques minutes plus tôt.

L

Comment ne pas apprécier lancer des pierres un peu partout lorsque l'on avait le pouvoir mais surtout la force pour le faire ? Enystë n'avait rien du tout a se reprocher. Il avait lancer la pierre pour faire une petite peur au jeune mâle, ce qui semblait avoir fonctionner a merveille. Il se lécha les babines de temps en temps, Après avoir écouter l'immense rocher atterir, il c'était tranquillement approcher du bord de la rivière pour y faire trempé lentement et calmement sa langue rapeuse. Ce fut ensuite qu'il prit le temps de se rendre a ce rocher immense qu'il avait visité a quelques reprises, bien entendu normalement le temps était un peu plus clément que cela. Enystë n,avait absolument rien a faire du temps qui était autour de lui. Il aurait put faire une chaleur d'enfer et il ne se serait jamais plaint. Mais cette pluie était attendut depuis plusieurs jours et malgré sa force tous et toute était content de la voir tombé. Il avait entendut un grondement venant de l'autre côté de la rivière mais il n'y avait même pas porté attention.

Observant le haut du rocher il se prépara et bondit agilement sans même prendre le temps de monté a l'endroit le moins haut du rocher. Il avait de la force dans les membres et il allait très certainement s'en servir au maximum. Alors qu'il s'assisait lentement sur la pierre complétement mouillé pour regarder aux alentours il vit le mâle sortir de la forêt et un sourire mauvais et cruel apparut sur son visage vil. Ce sourire en disait long sur son caractère et ceux et celles qui l'avait croisé connaissait également ce dont ce mâle était capable de faire pour arrivé a ses fins. Il secoua légèrement la tête ce qui fit tombé plusieurs gouttes d'eau sur le rocher déja innondé. Son regard était fixe a présent. Il regardait le mâle de l'autre côté de la rivière devenu légèrement tumultueuse. Malheureusement pour lui, Enystë était d'une patience a toute épreuvre et en plus, il avait la ruse dans le sang. C'était ainsi qu'il avait put obtenir la confiance de la défunte reine. Il s'en souvenait comme si c'était hier.

La queue du félin battait tranquillement la cadance sur le rocher, ce qui créait un petit " clop " a environ tout les 2 secondes. Ce guépard possédait une chose que beaucoup ignorerait très certainement très longtemps. Il savait des choses qui pourraient faire mourir de peur ceux et celle qui pourrait l'écouter. C'était pour cette raison qu'il n'en parlait presque jamais. Un rayon de soleil passa alors dans les nuage et vint éclairer le visage de Enystë. Son regard était meurtrier, cruel vil, le sourire mauvais sur ses lèvres n'annoncait absolument rien de bon. Le rayon disparut, replongea le tout dans le noir. La pluie devenait de plus en plus puissante mais le mâle restait insensible a ses léger pincement.

[ Merci ^^ ]

A

Enystë sentait que les choses seraient particulièrement longue si ils ne fesaient que se toiser du regard sans jamais bouger. Mais il restait tranquillement assis, complétement immobile sauf sa longue queue qui donnait de petits coups sur la pierre trempé. Il sentit une petite brise se lever et qui se transforma en coup de vent qui fit bientôt disparaitres les nuages. Bien que Enystë soit complétement mouillé il ne fit absolument rien pour facilité la disparition de cet chose liquide. Il se lécha lentement les babines alors qu'il fixait silencieusement le jeune mâle. Le guépard avasit raison pour une seule chose. Le Tenebrys n,avait aucune estime pour lui et a ses yeux ce Dryns n'en méritait nullement. Il n'était qu'un microbe dans sa viande finalement. Un sourire mauvais apparut alors sur les lèvres du guépard du rocher. A cet instant un temps sec s'empara de l,air ambiant mais aucune réaction ne vint du côté de Enystë. Il ne fit que tourner légèrement la tête pour regarder l'horizon et le soleil quitter lentement le ciel pour se lancer dans cette course poursuite avec la lune qui ne tarderait pas a apparaitre.

Alors qu'il avait recommencer a regarder le mâles, une partie d'un troupeau de buffle arriva lentement pour venir atténuer cette soif de boire. Plusieurs contournaient lentement le rocher mais fesait un détour un peu plus grands pour ne pas être saisit au passage par Enystë. Il avait tué si souvent de leurs petits que tous le connaissaient dans les animaux de la savane et de partout ailleurs. Il se lécha de nouveau lentement les babine et il ouvrit tout grand la gueule pour bailler. On put ainsi voir ses long crocs d'un blanc luisant. Des dents qui servent essentiellement a tué et a se nourir. ALors que le guépard assis de l,autre côté de la rivière esquissait un sourire, Enystë se leva lentement. Il se secoua vivement ce qui fit tomber une cascade d'eau sur les buffles ce qui fit que plusieurs sursautèrent.

Le guépard s'étira lentement et secoua la tête une nouvelle fois. Son regard se posa quelques instants sur l'autre mâle puis, ennuyé il descendit lentement de son perchoir pour venir s'approcher de l'eau. Il était maintenant tout près de l'eau, il passait entre les buffles comme si de rien était mais on voyait très bien que ceux-ci étaent particulièrement nerveux. Lorsqu'il arriva près de la rivière il abaissa la tête pour se mettre a lapper de l'eau. Le poil de son cou était légèrement hérissé ce qui prouvait hors de tout doute que le guépard était sur ses gardes. Lorsqu'il eut but a sa soif, il releva la tête et se lécha lentement les babines pour la enième fois et il se retourna lentement. Commencant a s'éloigner comme si il voulait quitté les terres. Mais soudain, il fit demi tour et il se mit a courir puissamment directement vers la rivière. Il n'en fallut pas plus pour les herbivores pour s'affoler. Il se mirent a courir dans tout les sens, Enystë bondit alors a plusieurs mètres du rebord et il attérit, de l'autre coté de la rivière puissante. Il regarda le mâle quelques secondes. Il avait attérit a quelques mètres de lui mais il s'en éloigna sans un mot, allant s'assoir a environ 15 mètres de se dernier.

S

Bien que Enystë ne torture presque jamais ses victimes prochaines en agissant de manière a les effrayer, il avait du plaisir a voir les réactions du jeune mâle. Se léchant les babines après avoir été laper plusieurs gorgé d'eau, il avait lentement levé la tête en fixant le jeune mâle puis il avait fait demi tour comme si il fesait semblant de quitté les lieux, par ennui ce qui n'était pas tellement le cas. Enystë agissait toujours selon les solutions possibles et du fai qu'il soit particulièrement rusé et très intelligent. Ce fut pourquoi il se mit a courir vers la rivière dans un instant de désinteressement du mâle. Il put ainsi le surprendre et faire peur aux buffles qui les entouraient. Il avait aperçu le jeune gnou blesser au flanc mais sans y porter plus d'attention. Ce petit si il avait de la chance pourrait peut-être survivre mais sa faiblesse l'amènerait directement a la mort. Lorsque ses pattes avant quittèrent le sol, les muscles de son corps, de ses cuisses et de ses pattes se contractèrent avec force pour arriver a le pousser a l'endroit ou il voulait attérir. Bien entendut cela fut tellement fait rapidement que personne ne put le voir, sauf Enystë lui même.

Alors que ses membres inférieurs touchaient de nouveau agilement le sol, il entendait un grondement léger provenant du jeune mâle. Il l'avait regarder quelques instants, il fesait pitié a être coucher comme cela, regroupé sur lui même a montré les crocs et a grogner comme un guépardeau. Il s'éloigna lentement pour, lorsqu'il fut environ a 15 mètres de l'autre s'arrêter, se tourner face a la rivière et venir s'assoir avec calme et ruse. A vrai dire il n'était pas complétement assis mais malgré cela rien ne se voyait car sa queue c'était enrouler autour de ses puissants membres. Son regard froid et cruel glissaient lentement sur ce qui se passait autour de lui. Les buffles avaient refaient un troupeau assez loin de l'eau et quelques oiseaux chantaient doucement malgré la nuit tombante.

Il entendit alors l'autre mâle bouger et il tourna lentement la tête en sa direction pour voir qu'il fesait des allées et retour en restant loin de lui. Un sourire remplit de mauvaises intentions apparut lentement sur ses lèvres et alors il remarqua la patte du jeune mâle. Sont sourire s'étira sur quelques secondes puis il mourrut, comme tout les autres avant lui mais surtout tout les autres après lui. Il se leva alors lentement et il se secoua avec vigueur, fesant tomber au sol encore quelques gouttes d'eau. Il regarda le jeune mâle quelques secondes puis sa voix masculine et mielleuse se fit lentement entendre. Malgré le calme de ses mots on pourrait être effrayé par les paroles.

- Tu devrais pas laisser des ennemis tel que moi voir des faiblesses ..

S

- Crois-moi... Les pires faiblesses ne sont pas celles que l'on croit.

Alors que l'autre mâle marchait de long en large, montrant clairement a Enystë qu'il était blessé et que ce dernier pourrait facilement le tué, l'envie de lui faire du mal s'atténua quelques peu. Il restait cependant la, complétement immobile a faire légèrement peur au mâle. Son regard glacial se promenait sur les terres qui les entouraient sans vraiment y prendre goût. Il n'avait pas grand chose a faire du fait qu'il n'en avait rien a faire de tout cela. Mais les terres allaient très bientôt lui appartenir. Il allait tout faire pour que cela arrive, même si il devait lui même tué des membres de la familles royal. Il était décider comme jamais a obtenir ce dont il était fait pour posséder. Son regrd revint bientôt sur le jeune mâle qui marchait toujours de long en large comme si cela pouvait bien changer quelques choses a sa pattes certainement blessé par un Tenebrys. Le mâle reconnaissait leur manière d'agir pour attaquer de la même façon. Vous attaquez les points faibles puis vous toucher les point sensibles. Enystë était un professionnel dans les points sensibles. Lorsqu'il parlait d'un evenement passé ou qu'il parlait d'un évènement douloureux que l'autre avait lourdement vécu, c'était comme si vous aviez a revivre cet enfer.

Enystë tourna lentement les yeux vers l'un des uniques arbres de la plaine pour voir les oiseaux qui lui causaient souvent des ennui. Il lui arrivaient souvent d'en tué plusieurs et parfois il les blessaient et les abandonnaient, pour les laisser mourir au bout de leur sang. Un sourire mauvais vint naitre sur les lèvres du mâle en cet instant merveilleux de sublime souvenir. Alors que ce merveilleux silence s'étirait avec joie et envie, Le grand mâle trouva qu'il était temps maintenant de le rompre et ce fut pour cette simple et bonne raison qu'il ouvrit lentement la gueule. Ce n'était pas le manque de patience qui avait fait en sorte qu'Il avait parler mais bien son instinct qui lui avait dicté de le faire. ALors que l'autre félin continuait de tourner en rond comme un lapin sans refuge, il put entendre sa réponse.

Enystë se mit alors a rire. Un rire mauvais et moqueur. Il se leva et s'approcha alors lentement de l'autre guépard. Il sentait sa peur depuis le début, il voyait qu'il se méfiait et qu'il craignait une attaque. Mais Enystë n'attaquait jamais les animaux déjà blessé. Il n'y avait aucun plaisir a tué un animal alors qu'un autre l'avait déjà affaiblit d'un magnifique coup de dents ou alors une bonne gifle bien placé. Il cs'arrêta juste devant lui, plongeant son regard cruel et vil dans ceux innocent de Satÿam. Un sourire mauvais était sur ses lèvres. Un sourire qui ne présageait pas toujours quelques choses de merveilleux a entendre. Il ouvrit lentement la gueule pour laissez sortir une phrase simple, remplit de sens mais particulièrement simple.

- Tu devrais être plus prudent avec les Tenebrys la prochaine fois ...

Il leva la patte pour montré la patte blessé du mâle. Comment le savait-il ? La question n'était pas la. Il le savait et c'était tout. Il était maintenant compétement immobile, attendant une réaction intelligente de la part du mâle.

S

Et pourquoi ? Cela peut paraître étrange, mais je sais que tu ne m'attaqueras pas. Tout simplement parce que tu es trop arrogant et orgueilleux pour t'en prendre à un animal déjà blessé. Ou alors.. Parce que tu n'es qu'une grande gueule ? Mais ne t'inquiète pas... Je n'irai pas dire à tes petits amis Tenebrys que tu es incapable de lever la patte sur un guépard infirme.

- Tu radotes, mon vieux... Qu'est-ce que cela change ? Que je boite ou non, je ne peux rien à la course face à toi. Cette blessure n'est rien. Je te l'ai déjà dit, ça n'a pas d'importance.

Mais peut-être que ta stupide petite cervelle n'a pas saisi le sens de mes paroles.

Alors qu'un semblant de conversations c'était commencer entre les deux animaux, les buffles qui mangeait au loin restait sur leur garde alors que le danger n'était pas sur le point de revenir, avant de venir les attaquer, Enystë prendrait certainement le temps de tué le jeune mâle. Le grand Tenebrys avait entendut parler de l'épisode de l'attaque d'un jeune de six mois. Le guépard qui avait commis cet erreur avait été sévèrement puni par la mort. Enystë était le seul a avoir le drroit de s'en prendre aux petits et cela tous et toutes allaient devoir le comprendre un jour. Il avait tué quelques guépard pour faire peur a ceux et celles qui comptaient s'en débarrassé mais ils avaient rapidement changé d'avis en assistant a cela. Le silence qui s'installait entre les deux guépard semblaient plus aimer que les paroles elle-même. Alors que Enystë redevenait silencieux après avoir pris la parole, Bien que le simple fait de s'apporocher de l'ennemi ne lui plaisait pas réellement, il le fesait pour le simple plaisir d'être plus prêt de lui si il voulait lui faire du mal.

Le silence était parfois interomput la le cri de petit oiseaux ou encore e meuglement des buffles et leur pas sur le sol. Bien que Satÿam se soit assis, le guépard pour sa part rester droit et debout. Il n'avait pas a s'assoir pour se croire supérieur aux autres. Puis soudain le dryns pris la parole et un sourire mauvais apparut lentement sur les lèvres de Enystë. Il allait clairement regretter ce qu'il venait de dire. Après s'être lentement lécher les babines, le Tenebrys prit la parole.

- Tu viens de commettre ta première erreur ...

Puis soudain avec une rapidité incroyable, Enystë donna un puissant coup de patte sur la patte avant du mâle. Un rire mauvais se fit entendre. Il reprit ensuite la parole.

- Tu tiens a tes autres pattes ou une de moins est accepté ... Je peux également ... si j'en est envie ... te donner la plante qui aidera a ta patte a redevenir presque normal .. mais non .. j'en est pas envie ..